Promenade au centre ville (Ouvert)

«C'est une belle journée.» C'était la première pensée qui me traversa l'esprit lorsque je mis les pieds dehors. Il était déjà 10h30 et je venais de me lever. Hier avais été une journée chargée, j'avais rejoins les Émergeant du néants, été réceptionner les drogues et les fonds que nous avions demander d'Italie et passer une partie de la nuit, à chasser des cobayes valable pour les jeux de ce soire. C'était plus dur qu'il n'y paraissait, car il fallait trouver des personnes asse résistante pour survivre un moment, sinon les invitées ne s'amusait pas et les paris était moins importants.

Mais aujourd'hui était une journées spéciale, car bien que j'étais arriver il y a déjà plus de deux mois, je n'avais pas encore eu le temps d'explorer la ville. J'avais du m'occuper de nombreuses taches pour que le restaurant de mon oncle "Ristoranti Faltum" devienne asse rentable pour nous permettre d'étendre nos activités, évidement je ne me suis pas occuper du restaurant en soit, mais seulement du sous-sol. Comme la clientèle devenais trop importante pour le sous-sol, j'avais pour mission aujourd'hui d'explorer la ville et de trouver un édifice dans un endroit tranquille que nous pourrions acheter pour y installer nos activités et stocker nos marchandises, bien que le sous-sol resterait utile comme salon VIP.

Je commença à marcher au hasard dans les rues et regarder plusieurs endroits possible, quand je me rendis compte que seul je ne trouverais pas l'endroit idéal. C'est alors qu'un bruit attira mon attention, deux enfants, visiblement des pauvres, étaient cacher dans une ruelle qui se finissait en cul-de-sac avec dans les mains une miche de pain. Un homme en colère les trouva et commença à les menacer, de leur couper la main. Y voyant une opportunité de prendre l'un de ses enfants comme guide, je m'approcha derrière l'homme sans me faire remarquer et dit d'un ton agacé:

«Qu'est ce qui se passe ici?»

Lorsqu'il me demanda si j'étais un bon samaritain, je ne pu m'empêché de sourire. Dans ce monde où la seul chose qui pousse les personnes à avancer est l'égoïsme, dire que l'on aide les autres pour le simple fait d'aider les autres ne peu pas être plus qu'un mensonge irréaliste. je regarda de haut en bas l'homme devant moi et lui dit:

«Ne te méprend pas, je ne suis pas du genre à aider les autres pour rien, je me suis seulement dit que des enfants qui vivent dans la rue seraient de bons guides pour m'aider à trouver ce que je cherche. Ce n'est rien de plus qu'un échange de faveurs, je les aides, et ils m'aides. Évidement je ne les forcerais pas, s'ils ne veulent pas de mon marché je les laisseraient à vos bons soins, peu importes ce que cela inclus...»

Lorsque je dit cette dernière phrase, je regarda les enfants apeuré dans l'attente d'une réponse, empoignant subtilement le couteau dans mon veston, prêt à agir.

C'est plus ou moins à ce moment que Capac sortie de l'épicerie pas trop loin portant dans ses bras plusieurs baguettes de pains, du fromage, des tomates ainsi que quelques boissons. Ainsi paqueter, il ressemblait à une bête de cirque et ses tatouages sinistres ne faisaient qu'empirer la situation.

Pour l'épicier, une seule chose était certaine: cet homme venait de sortir de l'épicerie avec de la nourriture pour 3 jours sans l'avoir payée. Décidement, ce n'était pas la journée du pauvre épicier...

J'avais hésiter à tuer l'épicier, car je ne voulait pas faire fuir les enfants, mais il semblait qu'une autre fois j'avais été chanceux et l'épicier avait trouver une autre cible. Je m'approcha lentement des enfants pour ne pas leurs faire peur et je leurs expliqua mon marché:

«Vous devez connaitre la ville alors ce que je vais vous demander va surement être facile. J'aimerais que vous me guidiez à un grand bâtiment abandonner par exemple une ancienne école ou quelque chose dans le genre mais pas un théâtre. S'il y à eu des meurtres ou que c'est hantée c'est aussi acceptable. Si vous réussissez, je vous offre le souper dans un restaurent pour vous et jusqu'à 4 de vos amis et vais vous faire une proposition de travail à plus long terme.»

J'étais sincère et je leur proposait un marché que je me disait honnête. Après tout je me disait que je manquait de subalternes et je pourrais les recruter, au début pour faire des petites choses comme des livraisons de messages ou des filatures et éventuellement les former pour des postes plus spécifiques. En contrepartie je leurs donnerais un peu d'argent, les nourrirait, les protègerais et les logerais, probablement dans le bâtiment que je leur demandais de me trouver.

Capac se retourna vers le pauvre épicier qui venait vers lui.

"Il n'y avait personne dans la boutique je me suis donc servis. J'ai besoin de cette nourriture monsieur."

La voix de Capac était calme, morrose, sombre....comme venu d'une autre dimmension. Son regard était vide et menaçant, sans parler du tatouage dans son visage qui ne faisait qu'augmenter l'effet dramatique de la situation.

Lorsque j'entendis leur question, mes yeux s'illuminèrent et un sourire sincère orna alors mon visage. Je m'approcha d'eux et posa un genou par terre pour me placer à leur hauteur et pouvoir les regarder dans les yeux.

«C'est un secret, mais comme vous avez eu l'intelligence de demander et que ça pourrait vous concerner je vais vous faire une bref résumé. À la base, ma fiancée m'avais demander de trouver un endroit où nous pourrions ranger nos marchandises en surplus pour étendre nos activités, mais j'ai un projet plus ambitieux. J'ai remarquer lors des dernières semaines qu'il y avait beaucoup d'enfants qui comme vous vivent dans la rue par malchance ou destin sans possibilités de réaliser leur potentiel, utilisant toutes leurs forces pour survivre et j'y est vu une opportunité. Je compte ouvrir un internat, un établissement où des personnes sans argents pourraient vivre et choisir leur futur, en contrepartie lors de leur graduation, ils travaillerais pour moi dans le domaine qu'ils ont étudié. Évidement ce ne sont que les grandes lignes et ne concerne que le bâtiment que je vous demande de me trouver, si vous voulez en savoir plus, nous pourrons en reparler avec vos amis lors de notre soupé, si vous acceptez bien sur.»

j'esquissa un grand sourire et les suivent, après tout s'ils avaient déjà un bâtiment convenable, j'aurais surement le reste de la journée pour relaxer et en apprendre plus sur les orphelins, mes futures subalterne.